étudier la vulnérabilité
Par type d’aléa climatique retenu comme pertinent, et par type d’enjeu critique, l’entreprise évalue sa vulnérabilité en procédant en deux temps (phases 1 et 2 ci-dessous).
Pour la vulnérabilité, une échelle qualitative (faible, moyen, fort) est utilisable.
Phase 1 : elle vise à estimer sur la base de l’historique du site le niveau de vulnérabilité « actuel » au regard des aléas climatiques retenus
Phase 1 : Climat actuel
Pour un enjeu critique exposé à l’aléa => S’assurer que les mesures existantes sont suffisantes pour justifier de la résilience. Préconiser si besoin des mesures « court terme » (voire plus long terme si nécessaire, mais à coupler dans ce cas avec la revue de l’évolution des aléas)
Phase 2 : elle vise à estimer le niveau de vulnérabilité au regard des aléas climatiques projetés
Phase 2 : Projections climatiques 2030-2050-2100
Pour les aléas à la hausse : Pour un enjeu critique exposé à l’aléa et une vulnérabilité maitrisée aujourd’hui (avec d’éventuelles mesures complémentaires identifiées en phase 1), étudier la vulnérabilité future et rechercher les éventuelles mesures supplémentaires qui seront nécessaires pour justifier de la résilience.
A la hausse : ex : températures, précipitations, sécheresse…
L’étude de vulnérabilité vise à estimer pour chaque horizon (2030-2050 et, si pertinent, 2100) la vulnérabilité escomptée de chaque enjeu critique et les mesures supplémentaires éventuellement nécessaires.
